OEUVRE D'ASSISTANCE AUX BETES D'ABATTOIRS |
Organisme habilité à recevoir Dons et Legs. Reconnu d'utilité publique par décret du 17/12/1965. |
COORDONNÉES : 10, place Léon Blum 75011 PARIS Tél : 01 43 79 46 46 Email : contact@oaba.fr Site web : www.oaba.fr CONTACT(S) : Président : Dr Vétérinaire Manuel MERSCH Responsable(s) dons/legs : Frédéric FREUND, Directeur |
DOMAINES D'INTERVENTION : Sécurité alimentaire / Animaux / Défenses, aides aux animaux / Protection animale / Éducation de l'enfant au respect des animaux |
Depuis 60 ans, l’OABA est la première association française reconnue d’utilité publique protégeant les millions d’animaux d’élevage, destinés à la consommation humaine.
MISSIONS
Habilitée à ester en justice, l’OABA se voit de plus en plus souvent confier la garde d’animaux retirés à leur propriétaire, suite à des mauvais traitements ou abandon de soins. Ces animaux sont alors accueillis dans les fermes partenaires de l’OABA où ils reçoivent alimentation et soins appropriés. Ces sauvetages d’animaux (plus de 1 000 chaque année) représentent les 2/3 des dépenses de l’association.
L’OABA est également présente dans les abattoirs, sa mission historique. Grâce à son équipe d’auditeurs, elle vérifie que les règles nationales et européennes de protection animale sont correctement mises en œuvre dans les établissements d’abattage.
Reconnue pour sa compétence et sa représentativité, l’OABA siège dans plusieurs conseils nationaux et régionaux, respectivement sous l’autorité du ministère de l’Agriculture et des Préfets.
ACTIONS
Depuis 2019, l’OABA participe au développement de l’étiquetage « Bien-être animal » et a conclu de nombreux partenariats avec des groupes de distribution, afin d’améliorer les conditions d’élevage, de transport et d’abattage des animaux. L’OABA a également fait condamner la France, devant la Cour de Justice de l’Union européenne et a obtenu l’insensibilisation systématique des animaux lors de leur abattage en production biologique. Depuis 2020, l'OABA poursuit ses actions contentieuses pour mettre un terme à la tromperie des consommateurs sur le mode d’abattage des animaux (avec ou sans étourdissement) et a saisi la Cour européenne des droits de l'Homme.